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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 22:09

Et de deux pour Gonzalo ! L'argentin a parcouru ce jour le marathon de New York en réalisant un chrono inférieur à celui de l'an dernier de 10 bonnes minutes ! Voilà qui méritait d'être souligné.

J'en serais plus demain, j'y reviendrais à ce moment là pour vous raconter son périple américain.

Et viva Diégo!!!

 

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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 15:55

Je vous présente quelques images des environs du village de Zonza.

Ce village se situe au coeur de l'Alta Rocca en Corse du Sud. Ce site naturel est un magnifique plateau se trouvant entre la mer et la montagne. Il est d'ailleurs encadré par de nombreux sommets dont celui des Aiguilles de Bavella et de l'Incudine. 
 

La place centrale du village de Zonza en été. Le trafic y est relativement intense ce qui lui confère une ambiance de vacances. 



Quel embouteillage! !




Le plateau de l'Alta Rocca. Impressionnant non ?




 
Les aiguilles de Bavella.

 

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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 12:24



L'argentin s'est préparé tranquillement à son deuxième marathon de New York en participant à son rythme aux 20 kms de Paris.
Plus qu'une quinzaine de jours et il sera sur la ligne de départ.
Diego!!!!!
















 
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12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 08:18


Au départ une équipe de mousquetaires perdue dans la foule de joggeurs anonymes ce dimanche 11 octobre 2009 déroulant les kilomètres avec l’envie de réaliser un bon résultat.

 

A l’arrivée, cinq sportifs complètement vidés par l’épreuve vécue. L’apprentissage de la compétition c’est avéré plus dur que prévu.

C’est tout à fait normal qu’un léger sentiment de contre performance se soit manifesté dans un premier temps mais, j‘en suis certain, il fera place rapidement à un sentiment de revanche bien légitime. Nous espérions faire mieux et pourtant nous pouvions difficilement le faire dans la mesure où notre volume d’entraînement avait été bien trop faible.

Qui plus est, l’encombrement du départ a perturbé notre stratégie de course. Nous avons perdu beaucoup de temps au cours des deux premiers kilomètres, par moment nous avons fait du surplace, surtout pendant la côte qui mène au Trocadéro, cela nous a obligé par la suite d’accélérer fortement, près de 14kms/h les deux  kilomètres suivants pour recoller au temps de passage que nous nous étions fixés.

Ces nombreuses accélérations successives nous ont, j’en suis certain, porté préjudice par la suite.

 

Au final, la leçon à tirer cette expérience, c’est que le foncier reste primordial dans ce type d’épreuve même si je considère que malgré tout nous avons limité la casse et réalisé chacun une performance plus que respectable. Personne n’a fait moins que 1h46 ce qui fait à minima 11,52 km/h de moyenne sur 20 kms ce n’est pas honteux.

Il est vrai que l’idée de pouvoir tous passer sous la barre des 1h40 paraissait prétentieuse compte tenu du peu de kilomètres parcourus à l’entraînement et du nombre restreint  de séances. J’aurais dû manifestement réfréner les ambitions affichées par le groupe, et les miennes en tout premier lieu.

 

En ce qui me concerne justement, je dois avouer que mon chrono est un tantinet décevant. 1h46 alors que j’avais sur cette épreuve déjà réalisé 1h37, certes en 2003, c’est navrant.

Après avoir accusé le coup, oui j’avais osé espérer passer sous les 1h40 comme les autres et cela m’a chagriné un peu, mais rassurez-vous pas trop quand même, j’ai réfléchis sur les causes de cet échec. J’en ai trouvé plusieurs.

D’abord le temps qui passe. Je ne cherche pas d’excuses mais sept années à mon âge ça compte. A 43 ans la jeunesse n’est pas encore très loin, à 50 on ne peut pas en dire autant. Désormais je sais qu’il me sera difficile de rééditer mes performances antérieures même si je n’ai pas abdiqué à l’idée d’être aussi performant qu’avant. Seul l’entraînement, j’en suis sûr, me prouvera si je peux l’être encore.

Ensuite, comme je l’ai déjà raconté, une programmation trop courte. 5 séances d’une durée d’1h20 environ, même assorties de séries intenses, ce n’est pas suffisant pour obtenir un bon résultat. C’est même, je dirais, présomptueux.

Enfin, l’envie d’aller chercher un temps. C’est à mon sens la cause principale de mon échec. La performance nécessite le dépassement de soi. Passé les 10 kms, je suis rentré volontairement dans un rythme confortable pour ne plus en sortir. La motivation m’a manquée, je n’ai pas eu envie de me faire mal. J’ai souffert certes mais insuffisamment pour espérer améliorer mon chrono. Pour retrouver le désir de courir vite il faudrait que je m’entraîne plus dur et plus souvent afin de ne pas être dans un état de fatigue avancée dès la mi parcourt.  En aurais-je vraiment la volonté ? Je l'espère vivement et dimanche prochain j’irai m’entraîner dans l’intention de me rattraper.

 

Ceci étant dit, il me reste à remercier mes partenaires pour les bons moments passés ensemble et à vous quitter pour bien me reposer. C’est amplement mérité. 20 kms à bon train après tout ce n’est pas rien.

 

 

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25 août 2009 2 25 /08 /août /2009 12:48



1: Un aperçu du sentier de randonnée qui rejoint Evisa à Porto.


2: Les Gorges au fond de la vallée.


















3: Un arbre curieusement enraciné.


















































Le village d'Ota au loin.































Le sentier se situe tout en sous bois du départ à l'arrivée.






























Une belle balade à faire en famille. Compter 2 heures de marche pour rejoindre d'Evisa le lieu dit "les deux ponts" à Ota. 



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16 août 2009 7 16 /08 /août /2009 09:32
Sur le plateau d'Ese, après cinq minutes de marche du parking, deux sentiers apparaissent distinctement. Lequel emprunter pour aller aux Pozzi, telle était notre interrogation. Une personne avertie, un insulaire, répondit à notre question de manière on ne peut plus laconique: "Là ou là". Après expérience, il s'est avéré que notre hôte avait raison, les deux sentiers conduisaient effectivement aux Pozzi.


"Là" à gauche, "Ou là" sur la droite.















 Le premier tracé à gauche, que nous avons nommés "Là" nous mène directement à destination. C'est facile il suffit de suivre les pylônes de l'ancienne remontée mécanique jusqu'à la crête de Scadasole puis suivre le sentier bien balisé pendant une demi heure longeant la même crête pour redescendre ensuite verticalement de l'autre côté sur les Pozzi.

Les Pozzi de la crête de Scadasole.




L'autre sentier, sur la droite conduit lui aussi aux Pozzi en contournant la crête de Scadasole. Le tracé est clair, il suit d'abord le ruisseau pendant un bon moment pour s'en détacher et redescendre dans la vallée qui suit en sous bois, une forêt d'aulnes, et se termine par une montée abrupte débouchant sur les bergeries à destination. 

La forêt d'aulnes.







Les bergeries


Une fois aux bergeries il faut s'enfoncer dans le vallon pour découvrir les Pozzi progressivement. Ce site est époustouflant de majesté, plus on avance et plus c'est beau. Qui plus est, on fait la route en compagnie d'animaux très sympathiques, un cheval fou mais inoffensif qui fonce et se détourne de soi au dernier moment, un chien qui embaume le lait de chèvre, des truites, des vaches, des cochons... 
Au petit matin, si vous êtes attentif, il vous sera même est possible d'apercevoir l'aigle royal planant au dessus du site. Impressionnant!





Pour Vitalaca, une fois tout au fond de la vallée des Pozzi, il convient de continuer tout droit en remontant vers "A bocca della Calle". De l'autre côté on devine un gouffre où se situe bien en bas le lac.  Attention le lac n'est pas tout de suite visible au contraire il ne se distingue qu'au  dernier moment.


Les Pozzi vus d'A bocca della Calle.

Le lac se découvrant peu à peu.



Le lac de Vitalaca
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23 avril 2009 4 23 /04 /avril /2009 09:43

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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 10:33
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22 mars 2009 7 22 /03 /mars /2009 17:37

      

 J’ai appris au cours de mes études sportives qu’il existait « trois filières énergétiques ». La filière anaérobie a lactique, la filière anaérobie lactique et la filière aérobie.

Autrement dit, trois métabolismes différents susceptibles de fournir aux muscles sollicités l’énergie nécessaire à l’accomplissement d’un effort physique particulier. Lorsque j’ai entendu parler pour la première fois des filières énergétiques j’ai cru que l’on s’adressait à moi dans une autre langue que la mienne et je dois avouer qu’il m’a fallu du temps et de la persévérance pour dompter ce langage. 

Cela fait j’ai ensuite essayé d’en simplifier les termes afin qu’ils soient accessibles au plus grand nombre. C’est alors qu’à ma plus grande stupéfaction j’ai découvert que je n’avais rien compris de tout ça. C’est seulement après maintes réflexions, et en toute humilité, que je pense être arrivé à mes fins. Cela dit, il est temps que je vous en présente maintenant les grands traits.

 

Pour commencer sachez que le muscle en toute circonstance a besoin de carburant pour fonctionner. Il dispose pour cela de trois sources d’énergie distinctes. Ce sont les fameuses filières énergétiques. En fonction de l’intensité et de la durée de l’effort qu’il lui faut fournir il utilise préférentiellement l’une de ces filières.

 

La source la plus instantanée est la filière anaérobie a lactique. Cette filière met à disposition du muscle un carburant appelé créatine phosphate. En pratique, imaginez que vous devez courir rapidement après un bus, cela arrive, c’est cette filière qui vous permettra de le faire car sa mise en œuvre est immédiate. Mais vous ne pourrez prolonger trop longtemps votre effort car les réserves en créatine phosphate sont faibles et qu’il faut du temps pour qu’elles se régénèrent.  Après un court instant, trente secondes au grand maximum, soit vous stopperez votre effort faute de carburant, soit vous le prolongerez en réduisant obligatoirement votre allure et en faisant appel à un autre métabolisme.

Si jamais vous choisissez la deuxième solution, je suis conscient que cette hypothèse n’arrive pas souvent, On ne court pas après un bus indéfiniment , votre organisme utilisera alors sa deuxième source d’énergie, la filière anaérobie lactique. Et alors que votre effort faiblira, tout en demeurant intense et sans pour autant s’estomper, la filière anaérobie lactique mettra à disposition de vos muscles en action le sucre comme carburant. A cette intensité votre effort pourra durer à peu près trois minutes, pas plus. C’est le temps nécessaire pour épuiser les réserves de sucre. Si jamais le bus s’arrête à ce moment là, vous aurez le droit d’injurier le conducteur, le bougre, mais compte tenu de votre état physique je ne pense pas que vous serez en mesure de le faire. Pourquoi ?  Tout simplement parce que votre souffle sera court. Hé oui, quand le muscle fournit un effort de forte intensité pendant une assez longue durée, moins trois minutes rappelez-vous, et qu’il consomme du sucre essentiellement comme carburant, il produit des déchets. De l’acide lactique notamment.  Une partie de l’acidité, les ions d’hydrogène, vont exciter le centre inspiratoire situé dans le bulbe rachidien, une partie du cerveau pour parler plus simplement et vous pourrez toujours inspirez facilement mais vous ne pourrez alors expirez aisément. Bref, vous serez essoufflé. Convenez qu’il est difficile d’injurier qui que ce soit lorsque l’on est dans cet état. Tant mieux pour le conducteur.

Et si vous êtes dégoutés à tout jamais du bus, et vous décidiez d’aller au travail en courant plus lentement, cela se fait parfois, c’est mieux pour éviter les conflits avec les conducteurs, l’organisme mettra en action une troisième source d’énergie, la filière aérobie. En aisance respiratoire, vous parcourrez la distance en consommant un mélange composé prioritairement de sucre et plus ou moins de graisse. Comme dans l’hypothèse précédente, vous ne pourrez pas prolonger trop longtemps votre effort à cette vitesse si vous manquez d’entraînement. Pourquoi ? Parce que vos réserves de sucre ne sont pas inépuisables et que l’on a coutume de dire : « sans sucre pas d’effort ». Et même si vous vous nourrissez de sucre pendant la course la durée de votre effort ne pourra s’étendre très longtemps pour autant. Il faut de l’entraînement pour courir même lentement une grande distance d’un seul trait car seule la répétition régulière de l’effort physique accroît les réserves de sucre hépatique et musculaire (le glycogène) et rendre plus endurant le fonctionnement des métabolismes en jeu. Voilà qui est dit.

 

Mais en dehors de tout effort physique, dans la vie courante notamment, lorsque, par exemple, vous vous rendez au bureau ou chez votre marchand de journaux, évitez, dans une moindre mesure, les disputes en tous genres, l’ensemble des muscles en action brûlent aussi du carburant. Ce carburant est composé principalement de graisse et d’un peu de sucre. Bref, quand vous allez faire vos courses votre organisme utilise toujours la filière aérobie et consomme toujours un carburant mélangé cette fois-ci non pas principalement de sucre et d’un peu de graisse mais bien essentiellement de graisse et dans une moindre mesure de sucre.

Tout cela se réalise bien entendu en aisance respiratoire et votre appareil cardiorespiratoire n’est pas sollicité outre mesure. Voilà donc une autre façon d’utiliser la filière aérobie.

 

Pour aller plus loin, il arrive aussi que les protéines servent de carburant. Elles sont utilisées comme cela quand les réserves de sucres sont pratiquement épuisées. Le peu qu’il reste est affecté à l’alimentation du cerveau et du cœur. L’organisme assure sa survie ainsi et se protège en dégradant les protéines afin qu’elles puissent être consommées comme carburant. Elles se mélangent avec les graisses pour apporter l’énergie nécessaire aux muscles pour fonctionner. L’inconvénient c’est que ce métabolisme dit protéique induit des déchets toxiques. Les lendemains d’effort accompli dans ces circonstances sont souvent douloureux. Courbatures, fatigue extrême… C’est la raison pour laquelle il est préférable lorsque l’on pratique l’exercice physique de bien se nourrir et de consommer des sucres lents pour entretenir ou développer les stocks de glycogène.

 

 

 

 

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8 mars 2009 7 08 /03 /mars /2009 20:45

 

 

 

Voici en quelques mots le résumé de l’article précédent intéressant la nature des fibres musculaires (Paul, Henri…).

Il existe deux types de fibres, les rouges et les blanches, leur nombre est définitivement déterminé à la naissance et une partie d’entre elles, les intermédiaires, a la capacité d’évoluer en fonction de la contrainte physique qui lui est imposée.

 

Les fibres musculaires, dans leur ensemble, quelque soit leur couleur, se transforment donc progressivement afin que le corps réponde de la meilleure façon qui puisse le faire à une  surcharge de travail nouvelle et permanente.

Les fibres blanches, appelées d’une autre façon fibres de type II, répondent à une sollicitation intense en s’hypertrophiant. Leur taille augmente grâce à une hypertrophie fibrillaire, sarcoplasmique, conjonctif, mitochondriale, vasculaire et glycogénique. Bref, en d’autres termes elles gonflent. Et elles le font dès qu’elles se trouvent soumises à un effort de force récurrent. Mais ce processus naturel ne s’accomplit pleinement que si la charge d’entraînement est accompagnée d’une alimentation adaptée à ses besoins. En effet, pour être performant le muscle a obligation de s’alimenter correctement pour couvrir son usure mécanique et sa dépense d’énergie. Une recharge en protéines est nécessaire. Un apport calorique de 0,80 g/kg de poids de corps par jour est recommandé sans jamais dépasser 2g.

Cette majoration structurelle est inévitablement accompagnée d’une recharge toute aussi importante en glucides, en lipides (oui, en bonnes graisses surtout) ainsi que celle en vitamines et en sels minéraux pour respecter l’équilibre alimentaire (55% glucides, 30%lipides, 15% protides).

A cela il convient d’ajouter une augmentation de la consommation de liquides, l’eau étant la  plus recommandée (environ 3 litres/jour).

Donc, je majore ma charge de travail et je majore d’autant mon apport calorique total.

 

Les fibres rouges appelées d’une autre façon fibre de type I, s’adaptent en affinant principalement leur captation en glucose. Cette adaptation se réalise aisément grâce à une meilleure sensibilité musculaire à l’insuline. Le sucre ainsi consommé en excès va quitter le sang pour se localiser dans le muscle et le foie. Les fibres rouges, dès qu’elles sont sollicitées à bon escient, c'est-à-dire en endurance, augmentent considérablement leur capacité de stockage de sucre de réserve, le glycogène, et minore le risque de diabète pour autant.

Mais leur adaptation ne s’arrête pas là. La cellule ou fibre voit son taux de mitochondries augmenter considérablement. Ces petites usines à oxygène rendent la fibre plus endurante. Qui plus est, le tissu conjonctif qui entoure les fibres se décharge de son excès de graisses ce qui a pour effet de les affiner. Pour finir, un accroissement capillaire accompagne ces modifications améliorant par la même la circulation locale et donc l’approvisionnement en éléments essentiels et l’évacuation des déchets.

 

Les fibres intermédiaires, quant à elles, qu’elles soit rouges ou blanches tout en mutant subissent les mêmes transformations.

Elles mutent, à plus ou moins long terme, en fonction du type d’effort réalisé régulièrement. C’est notamment la raison qui explique pourquoi le corps d’un sportif spécialisé dans une discipline se modifie avec le temps. et se distingue d'un autre pratiquant un sport différent en intensité et en durée.

 

 

 

 

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